Acacio Puig, Viento del Sur. TEXTO (2014) presentación en Strobel/ Autriche-expo en Deutsche Villa Malerei auf Paper
A partir du 8 août, l’artiste espagnol, Acacio Puig, présente des dessins et des guache/aquarelle en petit format. A. Puig est né à Madrid en 1949 et depuis quelques années il vient régulièrement dans le Salzkemmergut.
Il s’identifie avec l’absurde et la grimace froide qu’on trouve chez Samuel Beckett, ainsi que du monde tragi-comique du cirque. Par ailleurs, Goya, Groz et Dix sont trois de ses références graphiques des plus importantes. Il utilise des couleurs intenses, parfois acides et reste fidèle à une figuration libre. On trouve dans ses tableaux l’expression d’une atmosphère poétique où cohabitent des personnages aigre-doux qui évoluent dans un monde carnavalesque.
Les dessins et aquarelles présentés à la Deutschvilla constituent, selon le peintre A. Puig, une sélection de « tapas » artistiques qui transmettent, comme en Espagne, les saveurs de la bonne cuisine.
En tant que militant pour le récupération de la mémoire anti-fasciste en Espagne, il a réalisé, en 2013, un documentaire sur le musée et le camp de concentration d’Ebensee. Ce documentaire est égalment un hommage aux brigadistes autrichiens qui ont lutté aux côté des Républicains pendant la guerre civile espagnole, et spécialement, à Hans Landauer, décédé récemment.
Depuis toujours, A. Puig mène de front l’activisme politique et le travail artistique. Suite à son militantisme, dans les années 70 il fut condamné à cinq années de prison, accusé par la dictature franquiste pour son engagement en faveur des libertés démocratiques.
Pendant le franquisme il a illustré des revues d’opposition au régime et par la suite, le quotidien « El País » ainsi que des livres de philosophie politique et de poésie . Comme peintre, il travaille avec diverses galeries espagnoles et a présenté son eouvre picturale dans diverses villes européennes.
Acacio Puig, Viento del Sur.
ResponderEliminarTEXTO (2014) presentación en Strobel/ Autriche-expo en Deutsche Villa
Malerei auf Paper
A partir du 8 août, l’artiste espagnol, Acacio Puig, présente des dessins et des guache/aquarelle en petit format. A. Puig est né à Madrid en 1949 et depuis quelques années il vient régulièrement dans le Salzkemmergut.
Il s’identifie avec l’absurde et la grimace froide qu’on trouve chez Samuel Beckett, ainsi que du monde tragi-comique du cirque. Par ailleurs, Goya, Groz et Dix sont trois de ses références graphiques des plus importantes. Il utilise des couleurs intenses, parfois acides et reste fidèle à une figuration libre.
On trouve dans ses tableaux l’expression d’une atmosphère poétique où cohabitent des personnages aigre-doux qui évoluent dans un monde carnavalesque.
Les dessins et aquarelles présentés à la Deutschvilla constituent, selon le peintre A. Puig, une sélection de « tapas » artistiques qui transmettent, comme en Espagne, les saveurs de la bonne cuisine.
En tant que militant pour le récupération de la mémoire anti-fasciste en Espagne, il a réalisé, en 2013, un documentaire sur le musée et le camp de concentration d’Ebensee. Ce documentaire est égalment un hommage aux brigadistes autrichiens qui ont lutté aux côté des Républicains pendant la guerre civile espagnole, et spécialement, à Hans Landauer, décédé récemment.
Depuis toujours, A. Puig mène de front l’activisme politique et le travail artistique. Suite à son militantisme, dans les années 70 il fut condamné à cinq années de prison, accusé par la dictature franquiste pour son engagement en faveur des libertés démocratiques.
Pendant le franquisme il a illustré des revues d’opposition au régime et par la suite, le quotidien « El País » ainsi que des livres de philosophie politique et de poésie .
Comme peintre, il travaille avec diverses galeries espagnoles et a présenté son eouvre picturale dans diverses villes européennes.
acaciopuig@gmail.com
La segunda obra que aparece en la entrada me parece excelente, Acacio. Increíble esa figura de ciclista. Un abrazo.
ResponderEliminarLa segunda obra que aparece en la entrada me parece excelente, Acacio. Increíble esa figura de ciclista. Un abrazo.
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